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POSTURE POLITIQUE

On s’inscrit dans une perspective révolutionnaire émancipatrice

  • On a conscience l’imbrication des structures oppressives tel que le cis-hétéro-patriarcat, le capitalisme, le colonialisme, le spécisme... On conçoit la pronfondeur des ramifications de ces forces dans nos structures sociales, mentales et institutionnelles.

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  • Par révolutionnaire, on entend la nécessité d’agir simultanément sur l’ensemble de ces ramifications sociales, mentales et institutionnelles...

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  • Par émancipateur, on entend une perspective qui permet à tous.te.s, collectif ou individu.e, d’avoir la possiblité d’aller au bout de ce qu’iel peut (1).

(1) Daniel Colson, Petit lexique philosophique de l’anarchie, Livre de Poche, 2001.

On questionne la culture de l’efficacité et du faire (au détriment du soin !) dans la lutte

  • Parce qu’on préfère croire et accepter qu’on ne verra probablement de notre vivant ni la fin de l’état, ducolonialisme, du capitalisme, du patriacrat, de nos modes de vie destructeurs. Parce que ces luttes s’incrivent dans des dynamiques de longs termes.

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  • Parce qu’on est convaincu.e.s que la modification de nos structures mentales et l’émergence de systèmes socio-productifs (et donc déjà de modes d’organisation !) compatibles avec nos idéaux joue.ra un rôle critique dans nos émancipations individuelles et collectives.
     

Comme :

  • Définir nos objectifs aussi en fonction de nos capacités et de nos éthiques.

  • Se grouper de manière consentie, en connaissance de nos besoins, attentes, traumas et peurs.

  • Faire ensemble en faisant évoluer nos manière de se parler, de vivre nos conflits, de se soutenir et de s’organiser.

  • Et ça, dans nos comportements au quotidien et nos pratiques militantes.

On veut expérimenter maintenant, et soutenir l’émergence de pratiques anti-autoritaires, structurés, autonomisantes, prenant en compte oppressions systémiques et inclusivité

On soutient la diversité des tactiques et des formes d’organisations

  • Parce qu’on croit en l’utilité d’une cohérence entre les formes d’organsations et les modes d’actions.

  • Parce qu’il n’y a pas de solutions miracles, et que c’est chouette si chacun.e choisit sa stratégie et ses tactiques.

  • Parce qu’on cherche à s’éloigner de la pureté militante, de l’entre-soi, du dogmatisme, de refus de remise en question, des postures sachantes centralisatrices et descendantes.

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  • Parce qu’on veut pas choisir entre fins et moyens.

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